Une Réfutation aux Pontifies Communistes de la France et de la Belgique
Le premier Mai passé, entre les déclarations ajoutées des Partis et des Organisation MLM, une déclaration a circulé, signée par le parti Communiste de France (mlm) et le Centre Marxiste Léniniste Moïste de Belgique, titrée : « Avec la guerre populaire, sous la bannière du MLM, face à la seconde crise générale du capitalisme ! ». Dans cette déclaration, qu’elle semble plus à un anathème de pontifies communistes, les compagnons exposent « leur » marxisme « bien compris », en réfutant aves des phrases aux « hérétiques » qui dans différents part du monde luttent vraiment pour diriger les forces du prolétariat mondial pour l’accomplissement de sa mission historique.
On pourrait se adresser la déclaration des compagnons avec quelque phrase, comme quelques camarade font, toutefois, c’est nécessaire prendre sérieusement ses idées et réfuter ses fautes puisque des phrases sont disqualifiées sans quelque argument, les autres seulement montre « leur » marxisme contradictoire et mutilé, et autres coïncide avec des idées de camarades erronés qui prétendent introduire dans le sein des marxistes léninistes moïstes, des formulations et des dogmes contraire au marxisme.
Les compagnons commencent la déclaration en affirmant « Nous rentrons dans la nouvelle époque » Est-ce qu’ils se réfèrent que nous sommes dans autre époque différente de la Révolution Prolétaire Mondiale ?, cependant, pour ce qu’ils disent par la suite, tout semble indiquer qu’ils ne sont pas en train de parler de quelque chose différente, sinon qu’il agit d’une « petite » glissade, d’une phrase sans senti qui contredit à ceux qui posent de marxistes « infaillibles ».
Plus devant en argumentant pour quoi nous rentrons dans une « nouvelle époque », ils affirment :
Car cette crise générale apparaît avec le covid-19, une maladie dont le virus qui le produit est issu d’une mutation provenant directement de contradictions développées par le mode de production capitaliste : la contradiction entre les êtres humains et les animaux d’un côté, la contradiction entre les villes et les campagnes de l’autre
En premier lieu, la crise économique du capitalisme mondial déjà existait depuis 2008, même les agences impérialistes déjà annonçaient la diminution de l’économie mondiale et elles avertissaient l’aggravation de la crise sociale des jours avant de l’apparition du coronavirus. La pandémie du coronavirus a causé une recrudescence extrême d’elle-même, en révélant dans toute sa magnitude et dans le monde entier. Deuxièmement, c’est unilatéral et inexacte on se référer à une « contradiction entre les êtres humains et les animaux », quand la formulation marxiste exacte se réfère à la contradiction entre la société et la nature, puisqu’il n’existe pas d’humains dehors de la société et la nature n’est pas seulement les animaux.
Ensuite ils jugent en gras :
Nous affirmons, en ce premier mai 2020, que le mode de production capitaliste est un obstacle complet au développement de l’humanité et à la valorisation de la vie elle-même. Tous les États qui sont au service du mode de production capitaliste doivent être renversés, afin que l’humanité soit en mesure d’établir des rapports socialistes, dialectiques et non destructeurs, avec tout ce qui forme la Biosphère planétaire !
Sans pénétrer beaucoup en raisonner à quoi ils se réfèrent avec la « valorisation de la vie elle-même » on attire l’attention le soupçon qui ont les compagnons qu’il y a des États qui ne sont PAS au service du mode de production capitaliste. Quels seraient ces États ? Un « soupçon » sans fondement quand on déjà fait évident que l’impérialisme est devenu dans un système mondial d’exploitation et d’oppression, en soumettant à tous les modes de production et ça a mis à tous les États à son service.
Selon des mots de la Proposition de Formulation d’une ligne Générale Pour Unité du mouvement Communiste International de l’UOC (mlm) on affirme :
L’impérialisme, comme mode de production internationalisé, a enchaîné à tous les pays – avec leurs modes spécifiques de production- dans une seule économie mondiale, où l’économie de chaque pays est un maillon d’une seule chaîne, qui obéit et sert à la production, la réalisation de la plus-value, l’accumulation et la centralisation du capital mondial
Par conséquent, TOUS LES ÉTATS « sont au service du mode de production capitaliste ».
Plus devant et aussi en gras, ils nous offrent une autre phrase pontifie :
Dans les métropoles impérialistes, là où triomphe le 24 heures sur 24 du capitalisme, il faut un esprit de rupture à la hauteur, une capacité à être conséquent jusqu’au bout dans l’affirmation du communisme. Nous soulignons le poids croissant de la subjectivité dans les métropoles impérialistes et rappelons que la conscience révolutionnaire n’émerge jamais mécaniquement, mais comme fracture avec les valeurs dominantes.
L’idéologie prolétaire en effet représente une rupture avec l’idéologie bourgeoise, mais elle ne surgit pas d’une lutte exclusive dans la sphère des idées. Elle surgit des contractions de la société capitaliste et des luttes de classes mais elle se développe indépendamment de la lutte du mouvement spontané qui a la même base. Cependant, la « fracture avec les valeurs dominantes » dans le terrain social seul est possible à travers et moyennant l’activité révolutionnaire des masses. Moyennant la fusion de la conscience socialiste avec le mouvement ouvrier. Par conséquent, on propose une « bataille culturelle » en marge de la lutte de classes est pure « idéologisme », au dire d’Engels ; c’est entre autres choses, une coïncidence avec la « révolutionne culturelle » avancé par le révisionnisme avakianiste il y a quelques années, et de lequel cela ne peut pas surgir sinon, comme la pratique s démontré, une secte.
Et de cette affirmation anti-marxiste, la suivante affirmation arrive, aussi distinguée en gras :
Nous affirmons ici que seule une juste compréhension matérialiste dialectique de la crise peut amener une juste orientation politique et culturelle, sans parler de la dimension idéologique, scientifique.
Un sophisme que seulement les pontifies éclairés comprennent et non les mortels prolétaires révolutionnaires, pour ceux toujours ont été clair que seulement en s’appuyant sur le matérialisme dialectique du marxisme, c’est-à-dire, dans la conception matérialiste du monde, dans la méthode dialectique et la position de classe du prolétariat, on peut dériver une correcte orientation politique pour sa pratique révolutionnaire.
Mais là-bas la tromperie n’arrête pas :
Qui n’utilise pas les concepts de Biosphère, qui ne veut pas comprendre la dignité du réel de la question animale, qui n’a jamais saisi la portée du réchauffement climatique, qui n’utilise pas dans son approche la contradiction villes/campagnes… ne peut absolument pas saisir notre époque.
Pauvres de nous que nous n’utilisons pas les concepts de Biosphère (avec majuscule) et que définitivement nous ne pouvons pas comprendre cette entéléchie de la « dignité du réel de la question animale » !
Cependant, telle tromperie seule cherche à éblouir la conscience prolétaire, en ce qui concerne pour le marxisme c’est clair que depuis le début lui-même une contradiction existe entre la société et la nature, ce qui a été poussé à l’extrême par l’impérialisme, spécialement dans les dernier 30 ans, en la soulignant comme une des contradictions plus importante de la société actuelle, puis que c’est en danger subsistance de la vie elle-même dans la planète.
Un problème reconnu par l’Union Ouvrière Communiste (mlm) dans le Programme Pour la Révolution en Colombie (Pour sauver la nature de la déprédation à laquelle elle a été soumise par le capitalisme) et dans la Proposition de Formulation d’une Ligne Générale Pour l’Unité du Mouvement Communiste International :
Le capitalisme impérialiste est un régime social qui survit de la déprédation des deux uniques sources de richesse : la force du travail et la nature ; son espoir de vie dépend d’étrangler à la société et détruire la nature. Transformer les relations des hommes avec la nature seule c’est possible en transformant les actuelles relations sociales d’exploitation en des relations sociales de collaboration. L’aspiration de sauver la nature sans toucher le pouvoir du capital, c’est réformisme bourgeois, elle répudie le désastre naturel, mais elle n’attaque pas sa cause principale : le mode de production capitaliste. Freiner la destruction fait part du programme socialiste du prolétariat car il exige finir avec le responsable de sa destruction : le capitalisme impérialiste.
Mais pontifier sur la biosphère et des autres affaire de cette ambiance a un propos : souligner comme contradiction principale mondiale la contradiction entre la société et la nature ou comme la Déclaration dit, « entre les êtres humains et les animaux ». C’est possible qu’il ne s’agit pas d’une ruse d’intellectuels, sinon de la propre confusion des compagnons. À propos de la contradiction principale mondiale actuelle, la situation créée par la crise et la pandémie a laissé complément clair qu’il s’agit de la contradiction entre le prolétariat mondial et la bourgeoisie mondiale ; fait qui a laissé à nu aussi l‘erreur des camarades qui mécanique et dogmatiquement ont affirmé que telle contradiction, depuis les années 60 du dernier siècle ou depuis le surgissement de l’impérialisme a été la contradiction principale entre les pays impérialistes et les pays, peuples et nations opprimés.
Avec des excuses au lecteur par l’étendu de la citation, c’est bon faire mention des mots de la Proposition de Formulation d’une Ligne Générale Pour l’Unité du Mouvement Communiste International :
Dans l’actualité, la contradiction principale mondiale affronte au prolétariat mondial contre la bourgeoisie mondiale, en étant enfin, la contradiction qui meilleure et plus concrètement exprime la contradiction fondamental du système, la plus décisive pour être sa manifestation directe dans le terrain de la lutte de classes, et comme tel, celle qui a plus d’influence révolutionnaire sur les autres contradictions mondiales de l‘impérialisme, ce qui aide plus à l’avancement de la révolution et au progrès de la société, en accélérant la transition au socialisme.
La crise économique mondiale débutée en 2008 a aggravé spécialement la contradiction mondiale entre le prolétariat et la bourgeoisie, en réaffirmant son caractère de contradiction principale dans le monde impérialiste, en extension et profondeur, où l’immense majorité de la population mondiale vit soumise par la chaîne du salaire, elle accumule de la misère au milieu de la richesse qu’elle produit et tient avec sa force de travail à quelques parasites monopolistes qui s’approprient privément de la production mondiale. Tant la faillite moyens et petits propriétaires, comme la ruine et déplacement de millions de paysans par le capitalisme et les guerres, ils grossissent en masses les files du prolétariat, dont l’existence menacée chaque jour plus par le chômage, les réductions des prestations, des licenciements massifs et la réduction du salaire réel, on souligne sa rébellion dans massifs dans massives mobilisations, des grèves générale, des soulèvements contre la crise, contre les « plans de sauvetage », contre le système mondial de l’exploitation salarié, déjà non exclusivement dans les pays opprimés sinon aussi dans les pays impérialistes où le mouvement ouvrier revient réveiller, déjà non seulement des ouvriers industriels sinon de tous les travailleurs contre un système qui n’est pas même capable de soutenir à ses esclaves salariés, en étranglés par le parasite impérialiste qui s’approprie de tout le produit social.
L’extension et profondeur de la contradiction mondiale entre le prolétariat et la bourgeoisie révèle avec netteté que le capital est une relation sociale où – par première fois dans l’agonie du capitalisme – on confronte ses forces dans le scénario mondial les propriétaires du capital et les propriétaires du travail ; fait de maximum importance pour la Révolution Prolétaire Mondiale, mais de peu intérêt pour beaucoup camarades communistes révolutionnaires, attachés à l’analyse d’autre période antérieur, qui déjà ne correspond pas avec la réalité mondiale actuelle et la perspective vers où les tendances objectives de la société pointent. Voilà une grande divergence entre les marxistes léninistes moïstes, environ de quelle est la contradiction principale mondiale dans l’actualité : entre le prolétariat et la bourgeoisie, ou entre les pays opprimés et les pays impérialistes.
Indépendamment des désirs et de la volonté, la sous-évaluation de la contradiction mondiale entre le prolétariat et la bourgeoisie, c’est une position erronée et flou dans la politique, idéaliste dans l’idéologique, et commun avec le révisionnisme post-MLM du PCR, EU, dont sous-estimation du poids du prolétariat se dérive de son papier dirigeant dans la Révolution Prolétaire Mondiale.
*L’anathème des pontifies communistes de France et Belgique signale qui deux techniques existent dans le sein des marxistes léninistes moïstes qui ont amené au mouvement à néant et qui qualifie, sans plus grands arguments : la première, vouloir « dans une approche abstraite-formelle faire de Gonzalo un classique du marxisme-léninisme-maoïsme(…) Un style stéréotypé a amené cette tendance à nier la crise du covid-19, à y voir une sorte de complot bourgeois pour masquer la crise et renforcer l’emprise politique et policière », la deuxième, dans le cas du Parti Communiste maoïste d’Italie, d’avoir « une démarche syndicaliste-populiste » ce qui étonne qui parler « de la guerre populaire » quand avant « cela lui semblait un simple anarchisme » la lutte armée qui se libérait là, et le cas du Parti Communiste Révolutionnaire de Canada, « il assume ouvertement de considérer que la Grande Révolution Culturelle Prolétarienne est un fait tout à fait secondaire, bien moins important par exemple que la révolution chinoise culminant en 1949 ». Une tendance « que cela relève d’une approche syndicaliste-populiste, sans aucune profondeur, sans aucune envergure ». * Dans un clin d'œil les camarades ont été condamnés par hérétiques ! Et non car il y a quelques déviations ou des idées erronées dans les camarades condamnés, mais les compagnons dans son style pontifical, simplement ils sortent une phrase pour proférer sa condamnation, avec lequel ils seuls démontrent sa propre pauvreté idéologique.
De suite, ils dictent une autre sentence, aussi soulignée en gras :
Nous affirmons qu’il existe trois lignes dans les mouvements se revendiquant du marxisme-léninisme-maoïsme. Il y a celle opportuniste de gauche, qui propose une idéologie clef en main dont Gonzalo serait la clef universelle permettant de faire ce que l’on veut comme on veut, ce qui est du gauchisme. Il y a celle opportuniste de droite voulant unir tous les maoïstes sans aucun égard pour le contenu idéologique. Il y a, enfin, la ligne juste qui fait des enseignements de Gonzalo et du Parti Communiste du Pérou l’interprétation correcte du maoïsme et prône la formation des pensées guides pour aller à la guerre populaire.
Pour commencer, les pontifies communiste montrent ici sa propre manque de dialectique et son marxisme mécaniciste, donc la lutte de deux ligne est inhérente à notre mouvement : c’est-à-dire, les tendances et des nuances n’existent pas par dehors du marxisme léninisme maoïsme, sinon qui luttent dans le sein du Mouvement Communiste International
En effet, il existe une ligne « gauchiste » basée sur la croyance que les « enseignements de Gonzalo et du Parti Communiste du Pérou » sont « l’interprétation correcte du maoïsme et prône la formation des pensées guides pour aller à la guerre populaire » dont sein aussi existent nuances ; dont l’un est représenté par les pontifies communistes et autres signataires de la déclaration, autre est représenté par les camarades de Brésil et Allemagne, et autres camarades se trouvent à mi-chemin ; tout le monde a en commun se réclamer les corrects interprètes des enseignements de la pensée Gonzalo et du PCP. C’est nécessaire le préciser pour différencier aux camarades et compagnons de qui aussi au nom « des enseignements de Gonzalo et du Parti Communiste du Pérou » ont soutenu les « lettres de paix » et ont défendu la Ligne Opportuniste de Droite – LOD, qui aussi a des suiveurs entre quelques organisations qui également s’appellent marxistes léninistes maoïstes, comme est le cas du « Parti Communiste de Colombie Maoïste », mais qui sont des gens qui déjà ne font pas part de notre mouvement, précisément parce que ils ont abandonné la base idéologique du marxisme.
Il existe aussi une ligne correcte qui pendant tous les ans a lutté tant contre l’opportunisme de droit comme les déviations « gauchistes » ; c’est une ligne qui n’a pas cherché se constituer une « fraction rouge » parce qu’elle accepte la lutte de lignes comme quelque chose nécessaire et profitable pour le développement de notre mouvement, et divers partis et organisations à différents moments ont joué un papier souligné, comme c’est le cas des camarades du Parti Communiste de l’Inde Maoïste, et des autres modestement comme dans le cas de l’Union Ouvrière Communiste (mlm) de Colombie face â la trahison au Népal et au révisionnisme Prachandiste et Avakianiste, comme c’est naturel, dans le sein de cette ligne aussi existent des nuances.
Finalement, au milieu de ces deux lignes il y a des camarades à mi-chemin mais en général notre mouvement a su surmonter la lutte contre le danger principal, l’opportunisme de droit ou révisionnisme et contre le centrisme conciliateur, en atteignant au cours de ces années différencier le champ des marxiste léninistes maoïstes de toute classe d’opportunistes.
Reconnaître cette situation fait partie de l’application du matérialisme dialectique à l’analyse du phénomène, où les disqualifications faites par les pontifies communistes de France et Belgique n’ont pas sa place parce que ils partent du subjectivisme. Au contraire, le marxisme léninisme maoïsme nous permet comprendre que l’existence de divers tendances et nuances dans le sein de notre mouvement, ces n’obéissent pas à la mal assimilation des « enseignements de Gonzalo et du Parti Communiste du Pérou », sinon aux changements dans la situation objective, à l’évolution de l’impérialisme dans les dernières décades et à l’aggravation de leurs contradictions, aux désaccords dans l’appréciation de l’expérience de notre mouvement et la compréhension des causes les plus profonds de la défaite en Chine. Des affaires sur lesquels c’est nécessaire promouvoir l’étude, l’enquête et la lutte d’opinons que le MRI n’a jamais abordée, et une grande partie des partis et organisations MLM ont évité, des problèmes qui sont déterminants pour avancer dans l’unité des communistes vers un nouveau regroupement.
À propos de ce, le silence des partis et organisations face à la Proposition de Formulation d’une ligne Générale Pour Unité du mouvement Communiste International par l’Union Ouvrière Communiste (mlm) en 2016, cela montre non seule le mépris pour résoudre les problèmes fondamentaux de la Révolution Mondiale, sinon de plus l’attitude dogmatique et sectaire, sinon la confusion et le nationalisme. Il n’y a pas eu aucun argument solide contre de ce qui a été posé là-bas, excepté quelques idées critiques des compagnons de « Reconstitución del comunismo » d’Espagne qui de plus ne sont pas correctes, ils n’ont pas mérité une réponse en ce qui concerne les compagnons ne partagent pas la base d’unité des marxistes léninistes moïstes ; eux, ils autant que Avakian et comme déjà le Parti Progressiste du travail croient qu’il faut « faire », « refonder » ou « reconstituer » un « nouveau communisme ».
Mais au lieu de faire quelque référence sérieuse aux arguments sérieux, au lieu de faire l’effort pour comprendre le matérialisme dialectique de l’unité des communistes, les pontifies communistes seuls visent à regretter et au fait ils nous attaquent avec une insulte gratuite :
Il est fort dommageable que la réfutation internationale de Prachanda ne se soit pas prolongée politiquement jusqu’à se réaliser en une unité internationale. Il faut ici souligner le rôle néfaste de l’UOC(MLM) de Colombie, qui hier dénonçait le Parti Communiste Maoïste d’Italie comme centriste pour devenir finalement un de ses vassaux.
« Il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre ni pire aveugle que celui qui ne veut pas voir » dit la sagesse populaire et les pontifies communistes fermés dans son égocentrisme schismatique, ils ne sont pas capables d’avertir qu’il y a eu en effet UNE GRANDE RUPTURE et que la lutte des communistes (ce qu’ils aussi ont participé) a empêché que la plate-forme révisionniste de Prachanda et surtout d’Avakian s’impose dans le MCI.
La manque de dialectique des compagnons les empêche avertir que plusieurs camarades, qui au départ ont adopté des positions centristes de conciliation avec le prachandisme, ils ont rompu définitivement avec lui et même certains ont admis courageux et publiquement leurs fautes, comme c’est le cas des camarades de Galice. L’UOC (mlm) n’a pas été qui a changé ses fermes positions idéologiques et politiques correctes, sinon les camarades erronés qui ont rectifié et cela est motif de joie pour les marxistes léninistes moïstes de tous les pays, cela les dérange aux pontifies communistes qui ne voient pas au-delà de leurs nez.
Pour qui ne se laissent pas avoir peur pour les mots insultants, ainsi que pour les camarades qui ne sont pas familiarisés avec les faits des dernières années c’est nécessaire faire un peu d’histoire, c’est pourquoi auparavant nous offrons des excuses quant à l’étendu des citations.
Là-bas 17 février 2007, les compagnons de France, qui maintenant pontifient ils ont écrit dans « Au sujet du révisionnisme népalais et du mouvement communiste international (2007) »
Ce qui s'est passé par la suite a eu une autre importance. Il y a eu, à partir de juin 2006, les différents documents du Parti Communiste d'Inde (maoïste), qui ont critiqué la démarche des "accords de paix" au Népal. Mais il y a également les très nombreuses prises de position, à partir de la mi-2006, de l'Union Ouvrière Communiste (Marxiste-Léniniste-Maoïste) de Colombie.
L'UOC (MLM) de Colombie a pris la juste initiative de chercher à définir au plus près le révisionnisme népalais, et appelle fort justement les communistes marxistes - léninistes - maoïstes à s'unir sous une bannière vraiment rouge.
Il va de soi que les communistes marxistes - léninistes - maoïstes doivent soutenir cette initiative.
Et il va de soi que dans ce processus, le Parti Communiste d'Inde (maoïste) a un grand rôle à jouer, tout comme le Parti Communiste du Pérou, car ce n'est pas pour rien si le révisionnisme népalais a commencé à vraiment tomber les masques en attaquant la guerre populaire au Pérou.
Comme l'a fait l'UOC (MLM) dans son appel "Aux prolétaires de tous les pays et aux Marxistes Léninistes Maoïstes" (Al Proletariado de Todos los Países y a los Marxistas Leninistas Maoístas), nous devons poser les bases d'une nouvelle définition, pour orienter le mouvement communiste international, dans la perspective glorieuse de la révolution mondiale.
Le 31 août 2016 a été publié dans Révolution Ouvrière l’appel : Joignons-nous et traçons une ligne claire de démarcation entre le marxisme et le révisionnisme ! Lequel s’avait envoyé par le comité exécutif de l’UOC (mlm) au mois d’avril 2013 aux suivants partis et organisations : Aux signataires de la Déclaration conjointe du 26 décembre 2011 L’UNITÉ INTERNATIONALE DES COMMUNISTE EXIGE LA DÉFAITE DU RÉVISIONNISME ET DU CENTRISME !
Arabie - Maoïstes arabes, Argentine - PCP maoïste, Bangladesh - Parti marxiste-léniniste-maoïste, État espagnol - Haine collective de classe, PC MLM de France, Parti communiste d'Équateur Sol Rojo, Pérou - Base Mantaro Rojo, Panama - PC (ML ) Panama, Colombie - UOC MLM
Aux signataires de la Déclaration conjointe du 26 décembre 2012 L’UNITÉ INTERNATIONALE DES COMMUNISTES EXIGE LA DÉFAITE DU RÉVISIONNISME AVAKIANISTE, DU CENTRISME ET TOUTES LES FORMES DE RÉVISIONNISME !
Afghanistan - Organisation des travailleurs MLM (PM), Arabie - Maoïstes arabes, Bangladesh - Parti marxiste-léniniste-maoïste, Belgique - MLM Center, Équateur - Parti communiste d'Équateur - Red Sun, État espagnol - haine de classe, État espagnol - PERUCRPM de reconstruction et de reconstruction, État espagnol - Organisation communiste du drapeau rouge, Panama - PC (ML) Panama, Pérou - Comité de base de Mantaro Rojo, Colombie - UOC MLM
À des autres partis et organisations marxistes léninistes moïstes :
Afghanistan - Parti communiste maoïste d'Afghanistan, Allemagne - Nouveau Pérou, Brésil - Front révolutionnaire, Colombie - Organisation maoïste de Colombie, Équateur - Reconstruction PC de l'Équateur MLM, État espagnol - Grande marche vers le communisme, État espagnol - Révolution prolétarienne, État Espagnol - UCCP, Inde - Discours libre, Mexique - Lijuc Gran Marcha, Parti communiste de Turquie / marxiste-léniniste (TKP / ML)
Et aussi il a été envoyé personnellement à quelques Camarades de plusieurs pays
Comme on voit les signataires de ces déclaration correctes, maintenant les pontifies communiste sont et entre les arguments sérieux qui là s’ont exprimé et que les compagnons maintenant ignorent, on était les suivants :
Les Déclarations Conjointes du 26 décembre 2011 et 2012, et les déclarations de divers partis contre le révisionnisme pseudo MLM, contiennent et expriment déjà une base commun d’unité dans les principes qui permet aux marxistes léniniste maoïstes se joindre pour tracer une claire ligne de démarcation entre le marxisme et le danger principal révisionniste.
L’Union Ouvrière Communiste (MLM) considère que les marxistes léninistes maoïstes ont maintenant « identité générale avec une base d’unité caractérisée pour reconnaître le mérites historiques du MRI et accepter sa défaite aux mains du révisionnisme ; pour le engagement de lutter pour l’unité des marxistes léninistes maoïstes dans le MCI à condition de la démarcation profonde avec le révisionnisme et le centrisme conciliateur ; pour le défense des principes fondamentaux du Marxisme Léninisme Maoïsme sur la lutte de classes, l’État, la révolution, le rôle historique des masses, la voie de la violence révolutionnaire des masses armées pour renverser le vieux État, la nécessité historique de la Dictature du Prolétariat, inclus les pays semi-féodaux et semi-coloniaux sous la forme de l’État de Nouvelle Démocratie, la nécessité de continuer la révolution sous la Dictature du prolétariat, l’impérialisme comme phase supérieure dernière du capitalisme et antichambre du socialisme, la caducité de la révolution démocratique bourgeois de vieux type, la vigueur de la Révolution Prolétaire Mondiale et le papier d’avant-garde du prolétariat en elle, la nécessité du Parti comme détachement politique et forme supérieure d’organisation du prolétariat, l’inéluctabilité des crises dans le capitalisme, le danger de guerre mondiale, le papier révolutionnaire des guerres et les crises comme passe avec la présente »
On ajoute sur la méthode correcte pour lutte pour l’unité :
Consolider la base générale d’unité des marxistes léninistes maoïstes, en traitant ses divergences (incluse les divergences de principe) en pratiquant consciemment la méthode d’Unité – Lutte – Unité, comme contradictions dans le sein du peuple. Sans cette méthode et sans le fil conducteur d’une Ligne Générale pour discuter et prendre position sur les questions, la lutte surtout et contre tous, ce cessera d’être une lutte pour l’unité des communistes, et terminera en regardant le devoir de vaincre et isoler au danger principal révisionniste.
Et on achevait :
Face à l’unité internationale des communistes, l’engagement et de la lutte de fond de l’Union Ouvrière Communiste (MLM), c’est pour la nouvelle internationale.
Dans telle perspective, dans ces années l’UOC (MLM) s’a proposé contribuer à la défaite théorique du révisionnisme pseudo MLM, et à contribuer dans l’élaboration d’une proposition de Ligne Générale pour l’unité du Mouvement Communiste International.
Comme on voit, conséquent avec ses mots, sa ligne et son plan, l’UOC (mlm) a livré à discussion du mouvement Marxiste Léniniste Maoïste cette proposition en 2016.
Et comme les faits démontre, les Déclarations Internationales Conjointes des dernières années signées par l’UOC (mlm) sont correctes et ne le font pas de concessions ni au centrisme, ni au « gauchisme ». Le monde a changé pour bien de la ligne marxiste révolutionnaire et cela a été de grande importance pour l’avance de la révolution mais les pontifies communistes ne peuvent pas l’avertir.
Le compromis de l’Union Ouvrière Communiste (mlm) avec le Mouvement Communiste International et avec la Révolution Prolétaire Mondiale, ont déjà sa propre orientation qui correspond à la compréhension du développement des contradictions et seuls ont un rapport avec la lutte entre le correct et l’erroné dans le sein de notre mouvement. De là que l’insulte quant à que l’UOC (mlm) s’est devenue un vassal du PCml c’est un affront qui seul dénote la haine viscérale des pontifies communistes pour les camarades d’Italie et le mépris européen bourgeois par une organisation d’un pays petit, que selon la « sagesse » de ces pontifies c’est « semi-féodal et semi-colonial ».
Dans ce même ton antimarxiste du « je-sais-tout » ils poursuivent la péroraison contre l’Union Ouvrière Communiste (mlm) :
Il faut bien voir que l’échec de l’UOC(MLM) est d’autant plus dommageable que cette organisation avait les qualités de ses défauts. Elle ne comprenait pas la notion de semi-féodalisme semi-colonialisme et considérait de manière erronée son pays, la Colombie, comme capitaliste. Cela reflétait toutefois une observation très fine du développement du capitalisme (bureaucratique) agro-industriel dans son propre pays. L’UOC(MLM) aurait dû joué un rôle primordial idéologiquement dans la crise actuelle, de par la nature de celle-ci. Mais comme elle a été hautaine avec la question animale et le changement climatique, elle n’a pas saisi la contradiction villes/campagnes de manière adéquate, elle a échoué à réaliser un saut qualitatif qui aurait été d’une grande valeur.
Une affirmation contraire à sa propre sentence des lignes plus devant où ils soulignent avec les habituels gras :
Le problème de fond dans chaque pays est la question de l’assimilation des principes du matérialisme dialectique et de l’étude concrète de la réalité à partir de la subjectivité révolutionnaire reconnaissant la dignité du réel
Justement, la rigueur scientifique de l’Union Ouvrière Communiste (mlm) l’a amené à conclure, ensuite de l‘examen de la société colombienne que c’était un pays capitaliste et semi-colonial, C’est-à-dire, de reconnaître le capitalisme réel qui s’a développé dans un pays opprimé, en renonçant aux formulations doctrinaires infertiles qui prétendent encadrer la réalité aux formules vides. C’est la méthode matérialiste dialectique qui l’a permis depuis la position de classe du prolétariat, arriver à la conclusion de que la prétention de faire une Révolution de Nouvelle Démocratie dans ce pays c’est une naïve aspiration petite-bourgeoise réactionnaire. Voilà l’ajouré des conclusions révolutionnaires de traverser à reconnaître la dignité du réel.
À propos du développement du capitalisme dans les pays opprimés c’est nécessaire citer, nouvellement en offrant des excuses au lecteur, ce qui a été dit dans la Proposition de Formulation d’une Ligne pour l’Unité du mouvement Communiste International :
Conditionner la révolution du prolétariat dans les pays opprimés à un prétendu développement capitaliste semblable aux pays impérialistes c’est vivifier la pourrie théorie de les « forces productives », opposée à ce que la révolution prolétaire enterre un système moribond. C’est déconnaître que les pays opprimés, encore ceux avec élémentaires conditions de développement industriel, ont été incorporés à une mode de production internationalisée, et que l’impérialisme s’est devenu en un système d’asservissement financière.
Dans le pays opprimé le capitalisme est une mode de production qui entrelace, influe, sape et tend à dominer les modes de productions capitalistes survivants, intégrés tous dans la formation économique sociale du pays, soudée à l’économique mondiale par la internationalisation du capital.
Le capitalisme d’un pays opprimé est un aspect de la mode de production mondiale, un aspect du capitalisme impérialiste, donc, soumis à ses inéluctables crises économiques et porteur de la particularité fondamentale du capitalisme moderne « la domination des associations monopolistes des grandes entreprises ». C’est compétent et dépendant d’un agonisant système mondial d’oppression et d’exploitation. C’est capitalisme monopoliste étroitement lié au capital financier mondial, seul que marqué par les marques profondes des entraves de la dépendance semi-colonial, du parasitisme impérialiste, et de ses tendances : autant à la stagnation, à contenir violente et artificiellement le progrès technicien, le rythme de croissance de certaines branches de la production, même de toute l’économie du pays opprimé, comme accélérer son développement – la tendance plus générale sous l’impérialisme – en accentuant la décomposition de la paysannerie, en balayant des vestiges de modes précapitalistes de production, ou en les assimilant, et même dans quelques cas en les renforçant, mais toujours en les soumettant aux besoins de la production mondiale, de la réalisation de la plus-value, l’accumulation et centralisation mondiale du capital.
Nier l’existence de la mode de production capitaliste dans les pays opprimés, en alléguant être « un capitalisme étrange », « non national sinon introduit artificiellement par l’impérialisme », « non producteur des biens de capital », « sans marché national articulé » « non classique »… cela signifie s’éloigner du marxisme par le chemin des déjà vaincues théories petites-bourgeoises populistes russes du XIXème siècle, incapables d’étudier objectivement les lois de fonctionnement et développement du régime économique et social du pays opprimé, celui exporte la mode de production capitaliste, sinon le capital, qui agit et influe dans ses germes et développement capitaliste causés dans le procès économique de l’ancienne société féodale. Les considérés « défauts » dans les pays opprimés, ce sont les caractéristiques propres de la dépendance semi-colonial et de sa fonction dans l’économie mondiale ; elles ne suppriment pas lescaractéristiques essentielles de tout capitalisme : production de marchandises sous un régime où le capital accumulé achète et exploite de la force de travail d’ouvriers libres.
Le surgissement du capitalisme dans entrailles de la vieille société féodale des pays opprimés, c’est une loi économique reconnue par Lénine, Staline et Mao. La prédominance capitaliste dans la formation économique sociale de quelques pays opprimés a été admise par quelques marxistes léninistes dans les années 60 du dernier siècle et timidement par les marxistes léninistes maoïstes des 80. Le domaine complet de la mode de production capitaliste sur les autres modes de production dans la formation économique sociale de pays opprimés, en arrivant à être le déterminant du caractère capitaliste de sa société, c’est un phénomène réel de la dernière et actuelle période dans la phase agonisante, accélérée et soulignée par la crise économique du capitalisme mondial dénoué dans les aube du nouveau siècle. Même comme ça, sauf des cas exceptionnel, cette indéniable tendance est encore inconnue par les communistes révolutionnaires et motif d’acharnée lutte entre ses files.
Ce n’est pas seulement un problème avec la méthode scientifique de l’enquête pour la stricte connaissance de la réalité, en cherchant la vérité des faits ; c’est avant tout une lutte contre les théories étranges au marxisme, qui depuis les années 60 du dernier siècle ont influé dans les files des marxistes, en passant directement de la littérature économique social-démocrate à être érigé en « guide marxiste » pour connaître la réalité de l’information économique sociales des pays opprimés.
Des théories étranges à l’économie politique marxiste, qui sert à la conjugaison réactionnaire entre l’intérêt matériel – économique – du petit propriétaire et le compromis politique opportuniste assistant de l’impérialisme sur son lit de mort. Ce sont les théories de la peur à reconnaître dans la révolution prolétaire le signe des temps actuel, et dans le prolétariat le fossoyeur de l’impérialisme. Ce sont les théories propres de la propension petit-bourgeois à « regarder vers derrière », en niant déjà non seulement l’existence du capitalisme dans les pays opprimés, sinon la propre victoire historique du capitalisme sur le féodalisme, sur laquelle se fonde le programme maxime mondial du prolétariat proclamé dans le Manifeste du Parti communiste.
Regretter le retour ou l’existence d’un « capitalisme national indépendant et sans monopoles » sous l’impérialisme, c’est un absurde opposé à la réalité de l’intégration dans l’économie mondiale de toutes les anciennes économies nationales isolée, et contraire à reconnaître dans l’impérialisme la phase supérieure et dernière du capitalisme, après dont cela seule suit le socialisme de la Révolution Prolétaire Mondiale.
Nier le développement capitaliste dans les pays opprimés, en prétextant son caractère dépendant, inégal, déséquilibré et sans développement classique, c’est méconnaître la nature de l’impérialisme et l’essence de sa domination semi-coloniale : de la dépendance réelle économique et politique, au service exclusif de la croissante augmentation et centralisation impérialiste mondial du capital, et contre des masses et du progrès de la société des pays opprimés, dont développement désarticulé et déséquilibré est un pignon articulé dans la grande chaîne de l’économie mondiale, de la production et le marché mondial impérialistes.
Limiter le développement du capitalisme à la voie révolutionnaire paysanne – de la révolution bourgeoise – en méconnaissant la voie réactionnaire laird, lente et douloureuse pour le paysan, mais la plus commun sous l’impérialisme, c’est « oublier » l’a b c du marxisme sur la question agraire, de l’oubli qui conduit à allouer à une fantastique « évolution du féodalisme ou du semi-féodalisme » tant la déséquilibrée décomposition du paysan dans les pays opprimés – presque toujours accélérée à feu et à sang – , comme la déséquilibrée concentration de la population et la misère dans les grandes villes, en méconnaissant la grande division entre la ville et le champ une condition nécessaire au développement de la mode de production capitaliste, une grande inégalité typique du capitalisme que seul le capitalisme peut créer les conditions pour la supprimer.
Par ailleurs, Il n’y a pas d’arrogance pour considérer le problème de contradiction entre la société et la nature (non « avec le thème des animaux et le changement climatique ») dans sa juste dimension comme exprime le Programme Pour la Révolution en Colombie et la Proposition de Formulation d’une ligne Générale Pour Unité du mouvement Communiste International déjà cité ci-dessus ; au contraire, l’UOC (mlm) part de la reconnaissance humble déjà exprimée par Friedrich Engels dans Le Rôle du travail dans la transformation du singe en Homme :
Et en fait, nous apprenons chaque jour à comprendre plus correctement ces lois et à connaître les conséquences plus proches ou plus lointaines de nos interventions dans le cours normal des choses de la nature. Surtout depuis les énormes progrès des sciences de la nature au cours de ce siècle, nous sommes de plus en plus à même de connaître les conséquences naturelles lointaines, tout au moins de nos actions les plus courantes dans le domaine de la production, et, par suite, d'apprendre à les maîtriser. Mais plus il en sera ainsi, plus les hommes non seulement sentiront, mais sauront à nouveau qu'ils ne font qu'un avec la nature et plus deviendra impossible cette idée absurde et contre nature d'une opposition entre l'esprit et la matière, l'homme et la nature, l'âme et le corps, idée qui s'est répandue en Europe depuis le déclin de l'antiquité classique et qui a connu avec le christianisme son développement le plus élevé.
(…)
Mais, pour mener à bien cette réglementation, il faut plus que la seule connaissance. Il faut un bouleversement complet de tout notre mode de production existant, et avec lui, de tout notre régime social actuel Plus devant, et à propos de la reconnaissance de la dignité du réel, les compagnons poursuivent dans la déclaration et avec les mêmes déjà familières en gras :
Cela forme la base de la génération d’une pensée guide orientant l’engagement communiste dans les luttes de classes ayant, par définition, un cadre national.
Justement ; une théorie antimarxiste et antimatérialiste dialectique combattue par le marxisme depuis ses fondateurs jusqu’à nos jours. Une théorie qui correspond aux vieilles idées bourgeoise sur des « sauveur suprême » et la foi superstitieuse dans les « génies » qui « illuminent » la lutte des masses avec ses « pensées », « chemin » et « nouvelle synthèse ».
C’est la version « maoïste » du culte de la personnalité, lequel a été créé directement par les Maîtres du prolétariat mondial : Marx, Engels, Lénine, Staline et Mao, qui ont exprimé clairement son rejet à tout ce qui a contribué à la prostration superstitieuse devant toute autorité.
Ainsi l’exprime clairement la Proposition de Formulation d’une ligne Générale Pour Unité du mouvement Communiste International :
Des comités et pas d’individus dirigent le Parti dans toutes ses échelles. Sans chefs on ne peut pas triompher la révolution prolétaire, mais ils sont des produits historiques qui matérialisent l’application du marxisme léninisme maoïsme à l’étude de la réalité et la transformation du monde, dans un programme, une tactique et une organisation, et non comme des idées descendues du ciel aux têtes de chefs géniaux et tout-puissant
La théorie marxisme léninisme maoïsme à propos des chefs est diamétralement opposée au culte à la personnalité des appelés « pensées guides », « chemin » et « synthèse » inventé dans le MRI ; c’est la conception antimarxiste des chefs, dans la propre expérience du MRI on s’a vérifié qui conduit au révisionnisme, au désastre de l’organisation communiste et à la défaite, de la renonce ou livraison de la révolution.
De ces théories antimarxistes se dérivent le pèlerin prophétie que le Parti du prolétariat ne pourra pas construire, ne pourra pas diriger avec succès la révolution d’un pays, sinon compte avec un leader génial qui le donne de la forme et contenu national au marxisme léninisme maoïsme.
Les opportunistes toujours ont été les défenseurs et promoteurs du culte à la personnalité : Liu Shao-chi et Lin Piao, en Chine, Arce Borja, dans le parti Communiste du Pérou ; Avakian, dans le PCR,EU et dans le MRI. Au nom de la lutte contre le culte de la personnalité de Staline, les révisionnistes qui ont promu servilement ce culte pendant sa vie ont fini avec les réalisations de la construction en Russie ; au nom de la pensée Mao Tse-tung, la nouvelle bourgeoisie a usurpé le pouvoir en Chine.
La lutte actuelle contre le révisionnisme pseudo marxiste, a obligé à ventiler nouvellement cette discussion sur la glorification des chefs. Les camarades du Parti Communiste d’Inde (Maoïste) le pose ainsi :
La « lutte contre le dogmatisme » s’est devenue en une phrase à la mode entre beaucoup révolutionnaires maoïstes. Ils parlent de rejeter les « ancien » principes de Lénine et de Mao et développer le MLM aux « nouvelles » conditions qui prétendument ont surgi dans le monde du siècle XXI. Certains d'entre eux décrivent son effort comme « enrichir et développer » le MLM comme un nouveau chemin ou pensée, bien que ce se décrive initialement comme quelque chose confinée à la révolution dans le pays en question, qu'à aucun moment assume son caractère universel et inexorable ou de « signification » universelle. Et dans cette exercice se glorifie et inclus déifie aux leaders individuels jusqu’au point qu’ils semblent infaillibles. Telle glorification n’aide pas dans le fonctionnement collectif des comités du parti et le parti dans son ensemble donc on ne questionne jamais cette ligne qui se pose, pendant provient du leader individuel infaillible. Dans telle situation c’est extrêmement difficile de par du CC [Comité central], sans parler des cadres, lutter contre une déviation sérieuse de la ligne politique idéologique, ou dans la stratégie et les tactiques basique inclus quand c’est absolument clair qui vont contre les intérêts de la révolution. Le « culte de l’individu » promu au nom du chemin et de la pensée, fournit certain degré d'immunité à la déviation dans la ligne si elle émane de ce leader individuel. (Lettre ouverte au Parti communiste du Népal unifié (maoïste) du Parti communiste de l'Inde (maoïste), Comité central - 20 juillet 2009)
Et déjà pour terminer cette réfutation aux pontifies communistes de France et Belgique, c’est nécessaire faire au moins une allusion à une autre phrase caractéristique du « gauchisme » dans le sein des marxismes léninismes maoïsmes, et souligné aussi en gras dans la Déclaration des compagnons : GUERRE POPULAIRE JUSQU’AU COMMUNISME !
Une affirmation de qui disent defender l’importance historique de la Grande Révolution Culturelle Prolétarienne en Chine, laquelle s‘a développé, non à travers de la Guerre populaire sinon de la mobilisation et dont propos était les bannir de tous les postes de direction tant de l’État comme du Parti.
Guerre populaire jusqu’au communisme est une phrase « gauchiste » vide et fausse. Car elle ne fait pas part des enseignements de l’expérience historique de la construction du socialisme, première étape du communisme, et parce qu’elle ne correspond pas au développement de la lutte de classes dans la marche jusqu’au communisme.
Dans le socialisme, comme étape de transition au communisme, encore où les classes existent et des luttes de classes, où encore, selon Mao, on ne sait pas qui vaincra, on a besoin de la violence organisée, de l’État qui déjà n’est pas proprement un État, selon Lénine dans L'État et la Révolution :
Ensuite, dans la période de transition du capitalisme au communisme, la répression est encore nécessaire, mais elle est déjà exercée sur une minorité d'exploiteurs par une majorité d'exploités. L'appareil spécial, la machine spéciale de répression, l'"État", est encore nécessaire, mais c'est déjà un État transitoire, ce n'est plus l'État proprement dit, car la répression exercée sur une minorité d'exploiteurs par la majorité des esclaves salariés d'hier est chose relativement si facile, si simple et si naturelle qu'elle coûtera beaucoup moins de sang que la répression des révoltes d'esclaves, de serfs et d'ouvriers salariés, qu'elle coûtera beaucoup moins cher à l'humanité. Elle est compatible avec l'extension de la démocratie à une si grande majorité de la population que la nécessité d'une machine spéciale de répression commence à disparaître. Les exploiteurs ne sont naturellement pas en mesure de mater le peuple sans une machine très compliquée, destinée à remplir cette tâche; tandis que le peuple peut mater les exploiteurs même avec une "machine" très simple, presque sans "machine", sans appareil spécial, par la simple organisation des masses armées (comme, dirons-nous par anticipation, les Soviets des députés ouvriers et soldats).
Sont contondants les mots de Lénine dans sa Salutation aux ouvriers hongrois, le 27 mai 1919 :
Mais l’essence de la Dictature du Prolétariat ne réside pas seule dans la violence, ni principalement dans la violence. Son essence fondamentale réside dans l’organisation et discipline de son détachement avancé des travailleurs, son avant-garde, de son unique dirigeant : le prolétariat ».
L’État de Dictature du Prolétariat, à propos dont les « gauchistes se référent très peu n’est plus proprement un État, en mesure que les fonctions du gouvernement chaque fois plus se devient en affaires administratives des choses sociales (planification et control), parfaitement réalisable par les masses et fonctionnaires sans quelque privilège, éligibles, amovibles à tout moment, et où le pilier central de la machine étatique, l’armée professionnelle nécessaire pour les classes parasites pour écraser à l’immense majorité, on fait pas nécessaire au le remplacer par le peuple en armes ; par conséquent, la guerre commence à être chose du passé, excepté pour affronter une agression étrangère ou amener à bien une guerre internationale.
À propos du nouveau type d’État. « L’oubli » des enseignements de la Commune de Paris par les communistes, c’est où se trouve la principale erreur et la cause plus profonde de la défaite du prolétariat en Russie et Chine, spécialement, suivre en maintenant une armée spéciale isolée des masses, lequel en Chine n’était pas touchée par la Révolution Culturelle, en devenant en un instrument entre les mains de la nouvelle bourgeoisie pour écraser au peuple et le permet restaurer le capitalisme.
Mais en retournant à la phrase de la « guerre populaire jusqu’au communisme », c’est clair que dans la mesure que le prolétariat triomphe dans de plus en plus des pays, qu’on s’élargisse le champ socialiste et qu’on s’atteigne entraîner à tous les pays à la révolution, la guerre populaire aussi s’en ira en éteignant, avec l’État ; au point que lorsque le dernier bastion de la réaction tombe, presque le lendemain, les fusils pourront se fondre pour être utilisés pour satisfaire les besoins de la société. Ensuite ce ne sera plus nécessaire un fusil pour faire que quelque paresseux travaille ou pour changer un fonctionnaire inepte.
Donc, une des premières institutions qui s’exigent dans le transit du socialisme au communisme, ce sont les armées et sa raison d’être, les guerres, causées par la propriété privée et l’exploitation d’un homme à l’autre.
En résumé, les pontifies communiste devraient s’inquiéter plus d’examiner leurs propres dogmes antimarxistes avant de condamner aux « hérésies ».
Union Ouvrière Communiste (mlm)
Juin 2020
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